« La permaculture est une méthode de jardinage qui ne génère aucun déchet », explique-t-elle. « Elle est basée sur des plantes qui sont originaires d’ici et qui poussent bien ici, qui n’attaquent pas les autres plantes et qui ne mettent en danger aucune espèce. On ne travaille pas contre les insectes et les oiseaux, mais avec eux ».
Après avoir obtenu la subvention du WWF, Mme Montreuil s’est adressée au CSA, qui a accepté de fournir une somme équivalente, ce qui lui a permis de disposer d’un budget de 4 000 dollars pour son projet.
Montreuil s’est inspirée de Geneviève Aboud, professeur de géographie environnementale, qui a mené l’initiative de la promenade de la biodiversité sur le campus au printemps dernier.
Aboud a suggéré des types de plantes et a fourni des informations sur la façon de construire un jardin qui reflète les objectifs de la permaculture.